L’épreuve du DCG UE 12 – Anglais des affaires n’est pas forcément celle que les candidats préfèrent. Pourtant, elle est moins difficile qu’il n’y paraît :
– le niveau B2 est celui attendu en fin de lycée : obtenir une bonne note n’exige donc pas d’être bilingue. Un rapport du jury récent rappelait ainsi que : « II convient de garder à l’esprit que les candidats au DCG ne doivent pas être considérés comme des spécialistes de la langue anglaise et doivent par ailleurs être évalués selon leur aptitude à utiliser une langue simple de manière efficiente, mais qui n’est pas parfaite. »
– le programme de l’épreuve est clairement défini : les thèmes abordés sont connus des candidats. S’ils sont directement liés à l’univers professionnel et économique, l’épreuve reste une épreuve de langue et non une épreuve de spécialité en anglais,
– enfin, plusieurs sujets d’annales facilement accessibles permettent de voir exactement ce qui est demandé au fil des années. Un ensemble de 3 à 4 documents sert de support à l’examen qui comporte trois parties : la rédaction d’une synthèse des documents (en français), le commentaire argumenté et expliqué du document iconographique, la rédaction d’un écrit professionnel (souvent un email, une note, un mémo….).
Il y a 13 thèmes au programme (Bulletin Officiel n°25 du 20 juin 2019).